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 Vidi Di Alexandro [FINI]

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Vidi Di Alexandro
Vidi Di Alexandro
Sadistic Fairy Queen

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MessageSujet: Vidi Di Alexandro [FINI]   Vidi Di Alexandro [FINI] 1387502757-horlogeDim 25 Nov - 23:41

Vidi Di Alexandro

   
♣ Identité ♣
Prénom : Vidi
   Nom : Di Alexandro
   Surnom (pour les monstres qui n'ont pas de nom)*:/
   Âge : 24 ans
   Sexe : Aux dernières nouvelles, je suis encore une fille. 'fin, je crois ?
   Ville/Lieu d'Origine (ou donjon, pour les monstres) : Prontera
   Personnage sur l'avatar : Vidi Di Alexandro - Orginal Character, by Suzukihotaru
   Job Class : Ecclésiastique
   Métier/Statut : Archbishop
   Race : /

   Votre camp ? : Bon [ ] × Mauvais [ ] × Neutre [✔]
   Vous êtes...? : Neutre [ ] × Je suis contre la cohabitation des races [ ] × Je suis pour la cohabitation des races [✔]
   Où voulez vous vivre et dans quel endroit? : Dans un appartement, autrefois une boutique assez vaste, à Lighthalzen.

   
♦ Description Physique ♦
   
Que les choses soient claires : je ne suis pas petite ! Certes, j’atteins difficilement le mètre soixante, mais il n’empêche que voilà ! J’ai donc une taille tout à fait honorable pour les personnes de mon gabarit. Compris ? Bon. Ça, au moins, c’est fait. Je suppose que je dois enchaîner ? Soit.

Blonde ? Oui, je le suis. Intérieurement,  je ne tiens pas à trop m’avancer, mais physiquement, c’est indéniable. Ma chevelure d’or m’arrive jusqu’en dessous des omoplates, gentille comme elle est. Elle l’est d’ailleurs tellement que je la qualifie de poulpe. A comprendre, la dompter tient du miracle. Surtout quand il fait assez humide dans le secteur. M’enfin. Doux, soyeux et lumineux, tel est le voile jaune qui protège – presque – mon crâne. On dit que les blondes sont plutôt du genre plantureuses. Mouais. Je ne vais pas trop le nier, mais je tiens à préciser qu’il y a largement pire. Ou mieux. ‘dépend du point de vue. Quoi qu’il en soit, oui, j’ai des formes. Je ne suis pas ultra-ronde, mais je ne suis pas non plus un squelette ambulant. J’ai des hanches, une poitrine d’une taille idéale pour ne pas trop être gênée, et une taille acceptable.

Bon, ce n’est pas parce que je suis blonde que je suis une adepte chevronnée des séances bronzage à la playa ! Au contraire. Primo, je ne bronze pas : je crame. Et si par miracle je finis par bronzer, alors ce n’est certainement pas avec mon consentement, ou suite à quelques malencontreux incidents, comme par exemple m’endormir à cause d’un crétin de mob aimant particulièrement jouer ce genre de tour aux innocents touristes voyageurs en plein désert de Sograd. Ce n’est très certainement pas une expérience agréable, croyez-moi. Bref. Avec tout ça, vous devez vous demander où est-ce que l’on va. Ou bien, tout simplement, quel est mon teint. Non ? Faites comme si c’était le cas. Donc. J’ai une peau plutôt claire, douce et rayonnante de santé. Quasiment un teint de porcelaine, si je devais être plus précise. Mais à l’inverse de ces poupées, je ne me brise pas à la première chute. Nope ! Je vous l’ai déjà dit, je suis du genre bien en chair, sans être une boule. Ce qui implique une certaine robustesse, non ? Bon, si ça ne vous convainc pas, alors je n’ai qu’une chose à dire : je vous emmerde. Non, je rigole ! … Presque. Bref. N’oublions pas que la formation d’acolyte, puis de tout ce qui s’en suit, nécessite un entrainement physique. Donc, les dindes bien grasses et les lards sur pattes, c’est pas possible d’en trouver ! Enfin, normalement, ça ne devrait pas être possible. Mais vous savez comment ça marche, hein… L’Ordre n’est pas si « pur », et encore moins infaillible. Bref. Je suis donc, physiquement, une jeune femme à la silhouette plutôt banale. Oui, tout ça pour ça ! M’enfin.

Je ne vous ai justement parlé que de la silhouette. Donc il faudrait peut-être faire un léger zoom, non ? Eh, vous voyez bien qu’on peut être d’accord pour au moins une chose ! Bref. J’ai des yeux d’un bleu-gris plutôt grands. Et très expressifs. Après tout, je suis du genre très expressive, généralement. En tout cas, quand mes yeux deviennent totalement gris, fuyez : un Adoramus risque de vous tomber sur la gueule très violemment. Bref. Le reste des traits de mon visage est très « banal », à nouveau. J’ai un petit nez en trompette, et une bouche rose dont la lèvre supérieure est fine alors que l’inférieure est plutôt pulpeuse. J’ai des pommettes rondes, légèrement rosées – chose due à mes rougissement soit de gêne, soit de colère, plutôt fréquents, en fait – et un petit front en partie caché par ma dense chevelure. Voilà pour le visage ! Pour le reste, hein… Bon. Mes mains sont plutôt fines, mais elles sont quelque peu calleuses à cause du maniement régulier d’armes telles que les masses, les gourdins et les sceptres. Les bouquins, eux, ne laissent pas de traces sur mes mains. Après tout, ce ne sont que des livres, eh. Bref. Mes bras sont fins sans être maigres, et pas spécialement longs ou courts. Des bras normaux, donc, avec assez me muscle pour être capable de propulser un Staff of Judgment II dans la gueule d’une cible quelconque. Uh uh. Maintenant, passons à partie basse de mon corps. Donc, les gambettes. Bah des jambes normales, quoi. Des cuisses robustes, des mollets fermes, le tout triplé d’une apparente finesse-musclée. Ce qui sous-entend que je peux donner des coups de pieds quelque peu douloureux. Ou fuir rapidement. Mes pieds sont légèrement plats, ce qui me provoque généralement un bon gros mal de dos quand je marche trop, ou que je suis fatiguée…

Et à présent, que dois-je vous raconter ? Ma manière de me vêtir ? Comme toute Arch Bishop qui se respecte, je vous dirais. Donc, avec l’uniforme réglementaire : bas résilles ; robe coupée bizarrement et donc qui laisse largement voir lesdits bas ; des p’tites chaussures avec des talons larges d’environs cinq ou sept centimètres ; le tout aux couleurs que j’ai choisit : du gris, du bleu et du blanc, ainsi que des bords dorés. Pour ce qui est de la tête, je me contente de porter un Prince Hat : un couvre-chef du genre que l’on porte à Rachel ou à Morroc, blanc avec une large broche en or sertie d’une pierre bleu-roi - et me demandez pas laquelle c’est parce que j’en sais foutrement rien - elle-même ornée d’une longue plume bleue. Oh, et je porte aussi un raz-de-coup tout simple, qu’il n’était quasiment pas utile de préciser, de même que des boucles d’oreilles en or et en argent – deux à chaque oreille – vraiment simple. Esthétiquement parlant, j’aime la simplicité. Mais ça, vous l’aviez compris.

Bon, c’est pas tout ça, mais ‘faudrait peut-être que je vous dise quelle est ma voix ? Oui, bon, ça a l’air stupide, dit comme ça, mais aux dernières nouvelles, vous ne faites que lire, là. Donc vous ne m’entendez pas. Donc vous ne savez pas comment est ma douce et délicate voix ! AH AH ! Ahem. Pardon. Donc, nous disions ? Ah, oui. J’ai une voix mezzo-soprano, c'est-à-dire une tessiture moyenne. En gros, une voix ni trop aigüe, ni trop basse. Une voix donc douce, qu’on pourrait croire apaisante et tout le toutim qui va avec. Sauf que non, pas avec moi ! ‘fin, pas tout le temps ! Ouaip, je m’éclate à moduler ma voix, intentionnellement ou non, selon mes humeurs, mes propos, bref selon les circonstances. Énervée, ma voix devient un peu rocailleuse, et forte ; excitée, elle passe du registre « moyen »  au registre « aigüe », avec en prime un rire tout aussi variable que ma voix – rire de psychopathe, rire diabolique, rire enfantin, rire-tout-court, fou-rire… Bref. Quand je suis fatiguée, alors mon ton devient quasiment monocorde, et c’est pas mal si on comprend ce que je marmonne. La seule fois où ma voix et vraiment mezzo-soprano, c’est quand je suis concentrée, en mode « sérieuse » et calme. Voilà. J’peux partir, maintenant ? … non ? Comment ça, non ?! Oh. Le mental. Ouais.
   

   
♦ Caractère ♦
   
Qui a dit qu'une religieuse devait obligatoirement être pieuse ? Cette instance appelée "bon sens" ? Pfeuh, qui en a, de nos jours ? Nous sommes d'accord, une personne dotée de cette chose n'existe pas. Ou bien elle se cache. Mais bon, passons. Vous l'aurez compris, je ne suis pas exactement ce qu'on peut appeler une religieuse conventionnelle. Loin de là, si je devais en rajouter. Sortez de vos têtes l'image de la jeune vierge effarouchée, qui ne vit que d'eau fraîche et de pain dans la plus grande piété, généreuse et douce au possible. Éjectez ça illico presto de vos caboches. C'est bon ? Bien. Maintenant, je vais vous apprendre comment ça se passe dans la tête d'une Vidi, comment elle réagit, mais ne vous attendez pas à quelque chose de très glorieux, ou de très logique. On commence ?

Je ne suis pas croyante, ce qui est un sacré handicap pour quelqu'un de mon Ordre. Pourtant, cela ne m'empêche pas d'user des puissances "Divines" et des paroles saintes contre les monstres qui sévissent sur notre monde. Ou sur les gens. Tout n'est qu'affaire de logique, de rigueur et de doigté. Aux dires de certains, je suis totalement dénudée de logique. Mouais. J'ai ma logique à moi, c'est tout. Et l'un des principes qui en ressort, c'est "moins j'en fais, mieux je me porte". Je ne suis donc pas un exemple de rigueur non plus. Sauf quand je suis particulièrement déterminée à atteindre un but, ou je ne sais quoi d'autre. Auquel cas, oui, je peux me montrer assidue et efficace. Et trop très têtue. Oui, quand j'ai quelque chose en tête, ça n'en sort pas facilement. Quand il s'agit d'avoir à agir vite, efficacement, et avec fougue, je suis là pour donner un coup de patte ! ... Dans le cas où cela m'apporte quelque chose, évidemment. Je ne suis pas une opportuniste pour rien. Bref. Si jamais vous avez à travailler de concert avec moi, dans le cas précédemment cité... Alors vous avez tout intérêt à bien faire votre job. Sinon, je risque de quelque peu m'énerver, et passer du mode "Vidi" au mode "Tyran". Vous n'aimeriez pas voir ça. Oh non. J'ai horreur de ceux qui manquent de dynamisme et de professionnalisme, alors même que j'en fais partie. Ça me donne la migraine et je frôle l'hystérie selon les cas. Bref, une bonne petite religieuse tout à fait normale !

Je joue beaucoup avec l'ironie et le cynisme, comme vous l'avez constaté. Je peux être plus hypocrite encore qu'une adolescente chicaneuse et gâtée. Pourtant, je suis aussi souvent connue pour ma franchise mordante. Le tact, je ne connais pas. Ou peu. Uniquement quand la diplomatie l'exige. Pas souvent, donc. Parce que bon, me foutre dans la merde, très peu pour moi. Je préfère largement laisser ça à ceux qui aiment ça. Bon, bien sûr, quand mon rang l'exige, ou quelques éléments perturbateurs extérieurs que je ne citerai pas m'y poussent, je me bouge. J'agis. Mais il faut savoir trouver le juste milieu entre la vie privée et la vie publique, autrement dit entre ma vie peinarde et ma vie professionnelle. 'faut savoir dire non, le faire comprendre et surtout, faire en sorte que ça soit bien assimilé. Certains n'y parviennent pas. Moi, je ne crois pas trop mal me débrouiller. C'est ça, l'avantage d'être une femme autoritaire, narcissique par intermittence, et manipulatrice sur les bords. Eh, dit comme ça, j'aurai presque le mauvais rôle. Pourtant, je n'ai pas un mauvais fond. Sinon, comment pourrais-je utiliser mes pouvoirs ?

Je sais, j'ai dit tout à l'heure qu'il suffisait d'être logique, d'avoir du doigté et d'être rigoureux. Mais il y a un impératif qui fait que plusieurs ne parviennent pas à devenir membre de l'Ordre : avoir un bon fond. Autrement dit, un cœur pur. Donc oui, malgré ma mégalomanie, mes aspects sadiques, sociopathes et psychopathes, mon goût prononcé pour le pouvoir et la domination, je suis une bonne personne. Les actes désintéressés n'existent pas, c'est indéniable. Pourtant, les actions généreuses, si. Et je suis capable d'en faire, parfois. Quand le cœur m'en dit. Même plus souvent que je ne vous le dis. Eh, mon ego et mon caractère font que je ne vous dirais jamais tout, que ça soit de la bonne action au pire des actes. J'aime garder une aura mystérieuse, secrète. Pourquoi ? J'sais pas trop. Peut-être parce que j'attends que quelqu'un cherche à percer cette couche de bizarrerie pour me comprendre. Ou juste parce que ça m'éclate. Les deux sont possibles, vous savez ? Oh, allons. Faites comme moi : envisagez toutes les possibilités ! Bon, certes, ça peut rendre paranoïaque. Mais ça aide ! Entre autre, parce que plus rien, ou presque, ne peut nous étonner. Et puis, parce que ça peut aider à prendre les bonnes décisions.

Que ça soit pour sauver une vie, ou juste pour quelques choix personnels, je m'efforce de toujours tenter de tout prévoir, pour ne pas avoir à m'adapter en improvisant. Et parce que j'aime tout savoir. Peut-être pas tout savoir en profondeur, parce qu'avoir des connaissances encyclopédiques n'est pas des plus aisés... Et ce n'est pas donné à tout le monde. Et puis, je suis une touche-à-tout, donc hein ! Pas de commentaires ! Et puis, je n'ai pas à me justifier ! Bref. Je m'égare. J'en étais où ? ... Enchainons, ça sera plus simple. Donc. Tout anticiper, ça peut permettre d'éviter des souffrances inutiles. Je n'aime pas souffrir, et je n'aime pas non plus voir des innocents souffrir sans raison. Certes, je suis sadique, et je le reconnais. Mais la violence physique gratuite me répugne. La violence psychologique dure plus longtemps, et fait bien plus de dégâts. Pourtant, je le répète, jamais je n'en userais sur des innocents. C'est trop cruel, et trop inhumain. Croyez-le ou non, mais rien n'est plus sacré pour moi que la vie.

J'aime la vie, et tout ce qu'elle a à offrir ! Les êtres qu'elle enfante, les souffrances qu'elle nous impose, les petits bonheurs qu'elle nous offre occasionnellement... Tout ce qui vient de la vie ne peut qu'être beauté, qu'être digne ne serait-ce que de respect. Tiens, d'ailleurs, le respect est également un point sensible avec moi. Même si je peux être assez méchante, et violente avec mes propos, je m'efforce de ne pas manquer de respect à qui que ce soit... Monstres, humains, hybrides, tous sont des créatures vivantes. La société peut être pourrie jusqu'à la moelle, la vie, elle, reste pure et majestueuse dans sa simplicité. Je ne saurais certainement jamais trouver les mots justes pour l'exprimer, mais la vie a une importance primordiale à mes yeux. C'est peut-être l'une des raisons qui m'ont permis de devenir ce que je suis. Enfin, qui dit vie pense aussitôt à la mort. Scarifications, suicides, sang et tout mauvais traitement que certains font subir à leur corps m'effraient et me révulsent. J'ai peur de la mort, et peur de bien d’autres choses. Mais voir des gens se faire du mal, par soucis psychologiques, nécessité ou contraintes, me met tellement mal à l'aise que j'en psychote littéralement. Prenez ça pour un traumatisme particulièrement effrayant à voir et à vivre.

Bon, je pense que je devrais m'arrêter là. Entre autre, j'en ai déjà beaucoup dit. Ensuite, parce que se décrire mentalement n'est jamais aisé. Puis, parce que j'en ai marre de traîner sur ce sujet. Ce que j'aime ou non sera découvert en temps et en heures, de même de les autres aspects de ma personnalité. Vous aviez demandé à savoir comment je suis ? Voilà, vous en avez eu un aperçu.
   

   
♦ Histoire ♦
   
Il était une fois un couple. Oui non mais parce que bon, sans ledit couple, j’serais pas là aujourd’hui, donc oui on va commencer par là. J’en étais où ? Ah, oui, un couple, donc. C’était un couple plutôt banal, formé d’un homme et d’une femme travaillant avec dévouement pour leur pays. ‘fin, pour leur citée, plutôt : Prontera. L’homme était un Rogue, ancien membre d’une guilde de voleurs. Mais bon, depuis son mariage, trois ans plus tôt, il avait laissé tomber cette guilde pour former une Party avec sa femme-Swordman tyrannique chérie. Mais on parlera d’elle après. Donc, l’homme s’appelait Isaac. Isaac Di Alexandro, originaire de Morroc mais ayant vécu les vingt-trois dernières années de sa vie – précisons qu’il a vingt-quatre ans au moment des faits – à Prontera. Donc. Isaac. Un blagueur un peu beaucoup fourbe, très créatif et fort de son humour cynique. Bon, hein, il a quand même un bon fond. Bref. Mon père. Donc, comme dit précédemment, la femme, Jill Farseer Di Alexandro, swordman de son état, vingt-deux ans au moment des faits, originaire de Prontera, était l’épouse d’Isaac. Pas besoin de répéter comment elle est, mais bon, précisons à nouveau qu’elle non plus n’est pas méchante, dans le fond. Très au fond. Voilà pour la présentation de mes parents. Passons maintenant au plus important…

Un beau jour de printemps, non-loin de Payon Cave, le jeune couple de mariés était étendu sous un magnifique cerisier en fleur. Le temps était bon, doux, les oiseaux chantaient, quelques nuages se promenaient dans un ciel azuré, des parties de jeunes newbies se faisaient massacrer à l’intérieur du donjon – certains étaient d’ailleurs sous la tutelle de mes parents, mais avec un temps pareil, on ne peut en vouloir à mes géniteurs de préférer rester à l’extérieur - par quelques zombies et familiars avides de sang. Bref, une bonne journée. Profitant que personne ne se trouvait à proximité – pauvres newbies… - de l’entrée, ou même du joli cerisier, je vous laisse deviner ce qu’ont fait ces deux guerriers. Une lune de miel (en retard) à l’entrée d’un donjon d’où retentissaient des cris d’agonie, y’a pas à dire, c’est osé. Mais venant de mes parents, c’est… Presque logique. M’enfin. Neuf mois et deux semaines après, une divine enfant aux cheveux d’or et aux cris stridents naquit. Moi. Une gueularde dès la naissance. C’est-y pas beau ? Grâce à ma venue providentielle – les joies d’être le cadeau surprise de la lune de miel…- mes parents durent faire une pause, un break, dans leurs missions, et emménager à Prontera. Précisons qu’au moment des faits, les loyers étant bas, et mes parents étant friqués (pour une durée indéterminée, mais ils le savaient pas, grâce à moi à nouveau~! Les couches, ça coûte plus cher qu'on le croit), il était alors simple d’habiter au cœur même de cette mégapole. Un appartement assez vaste (un F4 ou F5 comme on dit) pour quatre personnes – alors que nous n’étions que trois… m’enfin – devint donc notre petit chez-nous chaleureux et décorés des trophées de ma mère, principalement. Et des butins de mon père. Ils n’avaient peut-être pas de hauts rangs dans leurs professions, mais ils étaient plutôt forts. M’enfin, là n’est pas le sujet.

Mon enfance fut des plus normales : je jouais avec les gosses du quartier, je faisais bonne figure lors des « messes » (qui étaient d’un chiant… !) à la Cathédrale – précisons que à cette époque j’étais croyante, comme ma mère - et je travaillais bien à l’école. Une gamine normale, quoi. Et figurez-vous qu’à cette époque (lointaine) je ne souhaitais qu’une chose : devenir fleuriste et, grâce à mes superbes bouquets de fleurs et autres créations, je comptais… Séduire le futur-prince-qui-était-pas-encore-né-mais-on-s’en-fout-c’était-qu’une-question-de-termps et devenir reine. Pas bête la guêpe ! Bref. J’avais déjà beaucoup d’ambition, sans pour autant chercher à pécher. Je vous l’ai dit, à cette époque, j’étais plutôt croyante. Et pas qu’un peu. Donc je faisais attention ! Un peu. Eh, n’oubliez pas que je n’étais alors qu’une enfant : qui, franchement, connait un enfant totalement sage et qui n’a jamais fait de connerie ? Nous sommes d’accord, ça n’existe tout simplement pas. Pour en revenir à mon souhait… Vous vous doutez bien qu’avec des parents tels que les miens, devenir fleuriste n’était tout simplement pas envisageable. Ce n’était pas faute d’insister jusqu’à mes dix ans. Puis, à cause des menaces grâce aux conseils de mes parents, je m’intéressais alors davantage à mon avenir. A comprendre, je dû choisir une « classe » de job entre les neuf existantes. Ne connaissant alors que trois de ces classes, je choisis celle qui me semblait m’être destinée : suivre la voie du Seigneur en devenant Acolyte.

Après une année d’études acharnées, en bonne novice bien entrainée physiquement (maman, papa, je vous rappelle que je dois me venger à ce propos : vous n’y échapperez pas, despotes que vous êtes !) que mentalement, je postulais alors au Sanctuaire de Prontera pour devenir – enfin ! – Acolyte. On m’attribua alors une mission toute simple : parcourir les quelques terres à l’Ouest de la ville, à la recherche d’un prêtre détenant un « message » pour moi. Juste des félicitations, en fait, pour l’avoir trouvé, et surtout avoir survécu pendant le trajet. Plus simple comme mission, tu meurs. M’enfin, je suis en suite retournée au Sanctuaire, où je devins officiellement une Acolyte au service de l’Eglise. Alléluia ! C’est ainsi que j’entamais la seconde partie de ma vie : mon adolescence. Toujours à Prontera. Mais plus dans mon joli appartement familial. Nope. La Vidi dû rejoindre les autres Acolytes dans les dortoirs appropriés. Ne me demandez pas le terme exact, je l’ai totalement oublié. La rigueur, le calme et l’obéissance étaient les trois grands ordres que je devais suivre impérativement. Venaient avec eux le silence et la patience, ainsi que la générosité et l’altruisme. Traduction : plus de jeux, que du sérieux et de l’austérité. Je m’emmerdais bien, mais ‘fallait faire avec. Cet ennui, en réalité, ne dura que deux ans. Des études, encore. Vous saviez que c’était vachement long d’apprendre les écritures saintes par cœur ? Oui ? Eh bah ce que vous pensez n’est rien par rapport à la réalité. Je ne vais pas me vanter, mais j’ai fait pété le record d’apprentissage, à cette époque : j’ai appris en deux ans ce que les « grands » avaient appris en cinq. (avoir une mère tyrannique qui parvient quand même à te surveiller et à te pousser à te surpasser alors que ça devrait pas être possible, ça aide, on va dire…)M’enfin. Je suis donc parvenue à passer de la théorie à la pratique un peu plus vite que certains. Jusqu’à mes quatorze ans, je parcourais alors l’Est de Rune Midgard, offrant mes services aux nécessiteux. Mes pouvoirs se développèrent, et malgré mon ambition et mes défauts croissants, je parvins finalement à devenir Priest. L’une des plus jeunes de l’Ordre depuis vingt ans, pour être plus précise. Ouais, parce que bon, être Priest à quatorze piges, ça n’est pas rien quoi… Généralement, on le devient à dix-sept ans. Donc bon.

Quatorze ans… A cet âge, on est encore bien innocent, même si l’on a vu des êtres mourir sous ses yeux. On a des rêves, des attentes pas si réalistes que ça. Des espérances. Parce qu’on n’a pas encore vu le pire. Vécu le pire. Parce qu’on n’a pas encore forcément fait un séjour à Morroc. Cette ville dévastée par un monstre de la pire espèce qui soit, cruel et destructeur, une vingtaine d’année auparavant : Satan of Morroc. Et ce n’était qu’âgée de quatorze ans que je dû voyager jusque là-bas, en compagnie d’un autre Priest et de deux Acolytes. A cette époque, malgré l’état de la ville, tous croyaient le monstre disparut. Alors, la vie tentait peu à peu de reprendre ses droits, de même que l’espoir. Etant la personnification de celui-ci sur Terre, je fus envoyée par mes supérieurs afin d’aider les rescapés du mieux que je le pouvais. Jamais je n’avais vu d’êtres aussi courageux que les quelques habitants de cette ancienne ville florissante. Alors même qu’ils étaient encore fragilisés physiquement et psychologiquement. L’horreur de la catastrophe était toujours présente, alourdissant l’air et ternissant les restes des demeures. La ville ne recevant que très peu d’aide, les blessés et malades étaient nombreux. Nous nous sommes occupés d’eux autant que nos capacités nous le permettaient, la peur de laisser l’un de ces braves brisés mourir entre nos bras nous laissant des crampes d’estomac. Nous y sommes restés quelques années. Trois, pour être précise. Trois de trop.

Durant la seconde année de notre mission « humanitaire », dirons-nous, quelques incidents perturbèrent le train-train qui s’était installé. Une enfant, d’une dizaine d’année voir moins, avait disparu depuis deux jours. Puis elle fut retrouvée dans un tel état… A moitié putréfiée, les intestins à l’air libre, tandis que ses jambes gisaient, arrachées, à quelques mètres du cadavre, l’enfant n’était presque plus reconnaissable. Où fut-elle retrouvée ? Près du cratère remplaçant le palais. Certes, la guilde des Assassins se trouvait non-loin, mais cela n’était clairement pas leur œuvre. Ni même l’œuvre d’un être humain. Je fus celle qui trouva le corps. Et quelque chose en moi, ce jour-là, se brisa : ma foi. Comme le Seigneur avait-il pu laisser une créature aussi innocente et pure mourir d’une manière aussi… Sordide ? Dieu n’était-il pas censé être notre protecteur ? Eh. Face à une telle injustice, ma foi si « puissante » se brisa net. Je crû en perdre mes pouvoirs, mais ce ne fut pas vraiment le cas : ils n’avaient que diminués. Seul un entrainement intensif mais pas excessif pouvait me permettre de m’améliorer.

J’offris une sépulture décente à l’enfant, en présence de sa famille. Leur peine me chagrinait tant, et mon mépris de ce prétendu Seigneur était tel que je ne sentis pas immédiatement les regards vides qui nous observaient. Bien mal m’en prit. Le lendemain, c’était le reste de la famille que l’on enterrait. Le cauchemar que tous croyaient terminé depuis deux décennies recommençaient : Satan of Morroc n’avait jamais quitté ces lieux. Il observait les rescapés et les volontaires, tout en récupérant de ses forces. Tout en se nourrissant. Cet être diabolique ne pouvait être loin, me suis-je dis. Et, dans un élan de courage – ou plutôt de témérité – je me mis à sa recherche, seule. Les volontaires et mes collègues, pendant ce temps, évacuaient les lieux sans être au courant de mon entreprise. Une entreprise quasiment vaine. Tout ce que j’appris de mes recherches, c’était que Satan of Morroc ne sévissait pas sous une forme unique, mais au moins sous trois formes, bien que je n’en avais croisé aucune (heureusement). Les trois méthodes de meurtre seules me permettaient de l’assurer : la première était celle qui avait causé la mort de l’enfant. La seconde, c’était la mort du reste de la famille : ils semblaient avoir été dévorés par… quelque chose, qui n’avait pu finir son repas correctement car il « restait » encore du sang dans au moins un des corps. Enfin, pour la troisième méthode… Le corps d’un homme, un Assassin Cross, était littéralement tranché en deux. A ses côtés gisaient quelques plumes brunes : appartenaient-elles à un charognard, ou bien à l’agresseur ? Je n’en savais rien. Mais c’était déjà bien trop de mort à mon goût.

Hélas, je me voyais impuissante. J’étais seule, sans grand pouvoir, avec pour seule arme une rod usée. Lorsque mon « équipe » de healer revint, ses membres étant inquiets de ne pas me trouver parmi eux, j’errais en larme dans la ville. Je me haïssais pour ma faiblesse. Je haïssais le Seigneur. Je me dégoûtais. Quand je pris conscience de là où je me trouvais, mes camarades m’avaient allongée sur un lit de camp, sous une espèce de yourte balayée par les vents pleins de sable brûlant. Nous restâmes cinq mois dans le camp improvisé, à quelques trente kilomètres de Morroc, autour d’une oasis quasiment sèche, jusqu’à ce que les réfugiés de Morroc décident de retourner là-bas. Nous ne pouvions pas les laisser y aller, c’était trop dangereux ! Mais ils ne nous laissaient pas le choix, têtus comme ils l’étaient. Alors, nous les y avons accompagnés, garantissant un peu leur sécurité. Le soir de notre retour en ville, chacun de nous fut hébergé par un morrocois généreux. Personnellement, je le fus par une jeune femme tout juste plus vieille que moi. Elle était gentille, serviable et chaleureuse. Mais surtout terrorisée. Le soir, quand nous nous sommes couchées, elle m’avait avoué m’avoir hébergée pour s’assurer que les mauvais esprits ne viendraient pas tenter de la tuer, surtout si elle restait dans la même pièce que moi. Lourde erreur.

En pleine nuit, j’entendis un bruit sourd dans la salle. Comme si quelque chose s’écrasait contre le mur. La nuit était noire, et pas une seule lumière ne filtrait ; quand bien même j’étais pleinement réveillée et assise dans mon lit, je n’y voyais rien. Seule une odeur de fer, de sang me mis sur la voie : je n’avais plus d’hébergeuse. Le corps présumé glissa lentement vers le sol, laissant échapper un bruit de suçon atroce. J’en eu la chair de poule. Et un mauvais pressentiment. Mis à part cet étrange suçon et ma respiration, il n’y avait pas un bruit. Je fermais un instant les yeux pour mieux me concentrer. Au moment même où je les fermés, une lueur bleutée filtra à travers mes paupières. Je fus prise d’angoisse instantanément. Mais vous savez ce que c’est : quand on distingue par « transparence » de la lumière, on finit toujours par ouvrir les yeux. C’est ainsi que je me retrouvais nez-à-nez avec un homme étrange. Nu, bleu et quasiment translucide, il semblait recouvert de flammes bleues et froides. Ses yeux, si on pouvait qualifier ainsi les cavités inexpressives qui me fixaient, était tout bonnement traumatisant. Jamais l’on ne m’avait observé avec une telle intensité. Et je doute fortement que c’était parce que je lui plaisais. A ces « yeux », je n’étais qu’une proie de plus. Je n’eus que le temps d’y penser avant de hurler de douleur. Une sensation étrange m’avait envahi, comme si un froid mordant pénétrait à l’intérieur de mon corps par mon ventre et ma poitrine. L’explication vint d’elle-même : l’ectoplasme étrange avait passé ses bras à travers mon corps. On a toujours cru qu’être traversé par un esprit n’était pas douloureux. Juste dérangeant. Le mec bleu venait de me démontrer qu’être traversée était particulièrement douloureux et traumatisant. Seuls mon Safety Wall doublé d’un Kyrie Eleison me permirent de survivre. L’apparition disparut, mais je me sentais salie.  

Suite à ce dernier évènement, je fus rapatriée à Prontera où je dus faire un rapport détaillé à l’Arch Bishop en fonction. Il m’examina rapidement, et en vint à la conclusion que je m’étais presque faite possédée, chose qui arrive généralement aux survivants d’une attaque de revenants. Seules, en moi, restaient quelques traces de la tentative de possession. Des traces indélébiles. Je n’avais alors que dix-sept ans, c’était arrivé à la fin de la troisième année. Je fus par la suite, après d’autres missions dans d’autres zones éloignées de Morroc, promue High Priest. Pourtant, quoi que je fasse, je me sentais observée constamment, suivie. Ce qui me rendit, à force, paranoïaque et encore plus irascible qu’avant. J’entendais derrière moi comme des murmures, vous savez, ceux qui rappellent le vent mais qui cessent dès que l’on souhaite repérer d’où ils proviennent. Mais ce n’est que lors de mes vingt-deux ans, quand je devins moi-même Arch Bishop transférée à Lighthalzen, que je compris. La chose m’avait suivi depuis Morroc. A cause des traces ineffaçables. A cause de cette marque qu’il m’avait laissée, et qui renfermait une petite partie de son pouvoir, je supposais. Sinon, pourquoi m’aurait-il suivit depuis tout ce temps ? J’avais bien tenté de me débarrasser de lui par la suite, à coup de Judex, d’Adoramus et Magnus Exorcimus, en vain. Alors, je renonçais pour une durée indéterminée à l’éliminer. Chaque fois qu’il daignait m’apparaitre – chose de plus en plus fréquente – je l’observais. Jamais plus il n’avait tenté de me tuer depuis l’épisode de Morroc. Ce qui me permettait de le détailler visuellement. Plus ça allait, et plus il me faisait penser à un lion. Pourquoi ? Sa coupe de cheveux. C’est tout.

Et puis, son aspect fantomatique, spirituel même, me rappelait un prénom assez répandu - selon mon père – à Morroc : Asad. Littéralement, le Lion. Celui qui appartient au domaine royal, donc plus au domaine social ou artistique que matériel. Comme l’enseignement, la musique, l’astrologie, l’ésotérisme en général. Et puis, hein, il est censé être de Morroc, non ? Et je n’allais pas l’appeler éternellement «  Shadow Spirit of Morroc », si ? Bah non. Puis bon, énervez-le, et vous verrez. Un vrai lion. Courageux, je suppose, et un gros bourrin… Je l’assure. Bref. Son nom était donc, depuis cette pensée, Asad. Je ne savais pas exactement pourquoi il me suivait. Ni ce qu’il me voulait. Mais étrangement, il se comportait quelque peu comme un pet. Parfois, lors de mes missions à l’extérieur de la ville, il lui arrivait de me donner un petit coup de main. Ou du moins, d’user d’un sort de soutient. Cela se limitait à ça, mais c’était toujours ça de gagné.

Désormais, j’ai vingt-quatre ans, et il est toujours là. J’ai fini par le considérer comme mon « compagnon », et non comme un simple animal de compagnie. Comme un camarade, si vous préférez. Il n’est pas bien loquace, mais il lui arrive de me donner de bonnes idées. Comme, par exemple, créer une guilde qui luttera pour le bien des vrais innocents, sans se mettre en conflit ouvert avec les autres. Et qui ne luttera que quand elle le souhaitera. Odd Squad. Mais pour créer une guilde, il faut être plusieurs. Par chance, un jour où je me promenais dans ma chère ville, Asad me montra « gentiment » quelques raccourcis. Pourquoi faire ? me suis-je dis. Quelques minutes après, Asad disparut d’un coup. Une seconde passa, durant laquelle je terminais mon dernier pas. VLAN. Je me retrouvais soudain sur le cul. Littéralement. Regardant autour de moi, mon regard se posa sur un duo étrange : une femme aux cheveux violets d’une longueur considérable, et à la poitrine imposante, accompagnée d’un Incube. Auquel, vraisemblablement, je m’étais cognée. Il n’avait pas l’air d’avoir beaucoup apprécié. Moi non plus, d’ailleurs. Ma mauvaise humeur s’étant d’un coup activée, s’il tentait de s’attaquer à moi, pet ou pas, j’allais riposter violemment. Mais avant que quoi que ce soit de ce genre ne se produise, Asad réapparu. Il prit à part l’incube pendant que je me relevais, un sourcil haussé. Je me retournais vers la femme que je saluais d’un geste de la tête, puis attendais la suite. L’incube retourna, plusieurs minutes après, auprès de sa maîtresse et lui chuchota vivement plusieurs choses à l’oreille. De plus en plus intriguée, je portais mon regard sur Asad. Celui-ci m’observa, puis me sourit pour la première fois.

« Propose à cette Sorcerer de fonder la guilde avec toi. » souffla-t-il avant de s’en aller.

Je regardais un instant la place vide qu’il avait laissé, puis le duo étrange, avant de soupirer et de m’approcher d’eux. Je toussotais alors pour attirer leur attention.

« Bon, et bien.. Bonjour, je suis Vidi Di Alexandro, Arch Bishop de cette ville. Selon Asad, et je suppose ton pet, ce serait une bonne idée que l’on fonde toute les deux une guilde. Ton avis ? »

Quelques mois après, notre premier QG était installé à Rachel, et nous commencions déjà à enchainer les missions. J’alternais entre mon rôle de chef de guilde et d’Arch Bishop officielle de Lighthalzen, mais nous faisions peu de missions : juste celles qui nous étaient utiles, ou qui remplissaient les coffres de la guilde - rapidement vidés lorsque nous avions investi dans notre nouveau QG : l'Intrépide. C’était effectivement une association judicieuse, comme l’avait suggéré Asad… Reste plus qu’à voir ce que ça donnera sur le long terme.
   


   
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MessageSujet: Re: Vidi Di Alexandro [FINI]   Vidi Di Alexandro [FINI] 1387502757-horlogeLun 26 Nov - 0:21

*^* Coool~ te voila, ma vidi~ je vais me dépêcher avec ton vava~ on a aussi la Moonlight Flower, dans le staff~ Nous maquent 2 personnes. Une qui doit venir et l'autre je sais pas, à toi de voir~
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Vidi Di Alexandro [FINI]

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